
Le centenaire de
La généalogie va connaître un formidable engouement. La recherche des grands pères et des arrières grands pères, ceux qui ont fait 1914-1918, sera une passion partagée par tous les citoyens des nations belligérantes.
Mais plus encore, il faut s’attendre dans certains pays à une mobilisation politico-touristique. Dans les pays de l’Europe de l’Est (Russie, Bulgarie, Roumanie, Serbie, Monténégro, Pologne…)
Dans les pays du Commonwealth (Canada, Australie, Nouvelle Zélande…)
En Turquie,
En Afrique (Maghreb, Afrique subsaharienne), la participation des combattants dans les armées coloniales va progressivement mémoriellement s’autonomiser. Les tirailleurs sénégalais furent les premiers combattants de l’histoire contemporaine de ces nations africaines.
Aux Etats-Unis,
En Europe de l’Ouest enfin (France, Italie, Belgique, Grande-Bretagne),
Quant à l’Allemagne, dans ce pays qui a montré sa capacité à construire une mémoire équilibrée de la seconde guerre mondiale, la première guerre mondiale suscite encore bien peu d’intérêt. Tout porte à croire que la mobilisation médiatique sera l’aiguillon d’une découverte mémorielle.
1 300 jours, pour placer
1 300 Jours pour que
1 300 Jours pour que l’Europe construise une mémoire partagée de ce qui fût une Grande Guerre civile européenne.
1300 Jours enfin pour que le monde s’approprie une histoire et vive ensemble une mémoire.
Serge Barcellini
Directeur de
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